L’antagonisme domaine politique et social, de rétablir finalement

            L’antagonisme spirituel qui fixe aux prises lafiliation de la deuxième moitié du XIXème siècle avec celle du XXèmesiècle, les inquiétudes indispensables de la société égyptienne dans l’intervalle politique, social, économique etlittéraire s’y procurent décrits avec une sincérité  subite, rarement d’une manièredidactique, le plus fréquemment d’une marque évidente qui fait songer à “Balzac ” et à “Flaubert”.         La fin du XIXème siècle est régitpar “Djamâl ad-Dîn Affrânî” (1838-1897) qui influence de son sceau le mouvement intellectuel.

       Ce personnage, à la fois philosophe,écrivain, orateur, journaliste, avait pour pensée essentielle de résister à l’influenceeuropéenne, de donner aux États arabes des renforces pour emmener rentablement cette querelle dans le domaine politiqueet social, de rétablir finalement l’influence islamique ; il collabora à reteniren Orient la prépondérance de l’esprit religieux. Il réalise d plusieursvoyages, transvasant ses positions par l’éloquence et la plume, tentant de réveillerl’intuition nationale et de remporter des progrès génères, mais sa fonction exclusivedans la transformation de la littérature persiste infime. Son condisciple “Mohamed Abdhuh”(1849-1904), azharistes’expulse grâce à  Affrânî, dans un affrontement poétique, il prêche des rénovations atténuées,comme l’essor d’une instruction modernisé, la réforme de la langue arabe, leretour au culte élémentaire, la fondation de la démocratie. Il éloigne le nationalismedes Arabes, mais conseille, avec la conservation des idées extrêmes de l’islam,l’éventail des principes primordiaux de la civilisation européenne.         Enconséquence, la Renaissance arabe de la fin du XIXe siècle et du débutdu XXème siècle a repéré son achèvement en Égypte chez un certainnombre d’auteurs comme : CheikhAbdhuh, Qasim Amine, Mouwelhi,Abdallah, Nadim al-Bârûdi, Hafez, Shawqi,Mutrân.

Cette descendance d’initiateurs laisse un détour dans l’histoire duroman arabe en Égypte ; enveloppant une phase accomplie, elle défit lavoie à une nouvelle époque. Ils tentèrent de rétablir les thèmes d’intuition.2-    Leroman arabe dans la conception moderne :  « Le renouveaude la période de la Renaissance fut caractérisé par deux tendancesmajeures :·       Le mouvement néo-classique ; “Ihyâ”, qui signifielittéralement « réanimation » ou « revivification »,et qui consiste à se tourner vers le patrimoine arabe classique pour leréinventer.                                                                                                          Cemouvement cherche à redécouvrir les traditions littéraires du passé et futinfluencé par les genres littéraires traditionnels comme le « maqamat » et » lesMilles  et une nuits ».·       Le mouvement moderniste “Iqtibas”qui signifie littéralement “allumage de son feu au foyer d’un autre” et quiconsiste à puiser son inspiration dans les œuvres littéraires européennes,voire à les adapter ou à les imiter. Ce mouvement prit naissance avec latraduction des œuvres occidentales, essentiellement les romans, en arabe »29.

« L’histoiredu roman arabe couvre la période allant de la Nahda « Renaissance » à nos jours (1834- 2016). Elle neprétend pas, cependant, à l’exhaustivité. Il ya eu toujours des histoires en littérature arabe. La diversité desnoms employés pour les différentes sortes d’histoires montre combien29. Littérature de langue arabe — Wikipédiahttps://fr.

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wikipedia.org/wiki/Littérature_de_langue_arabe         elles étaient en vogue et avecquelle exactitude on les désignait les uns des autres »30.         Exister, créer, c’est percevoirl’espace et s’y situer à sa juste place, à sa vraie mesure ; tel est levéritable point de départ des nouveaux arts plastiques ou littéraires, àcommencer par le drame et le roman.        Selon Hauser : « Pour la Renaissance, ainsi que pour touteculture dynamique, active et ascendante, l’espace est le principe de base de lavue optique du monde »31.      Les promoteurs du renouveau littéraire en France, dans les annéessoixante, dont Alain Robbe-Grilletpour ne pas citer que le  plus turbulentd’entre eux, se réclamèrent de cette dynamique. Ils cherchèrent le fondement dece que l’on a appelé par la suite « le  Nouveau Roman » dansla renonciation, aux« conceptions essentielles de l’homme » et laquête de « la profondeur » des choses, au profit de « l’objectifoptique », descriptif,  celui qui secontente de mesurer, de situer, de limiter, de définir, ce qui montreprobablement le chemin difficile d’un nouvel art romanesque »32.

          La pensée arabe, figée, dans un tempsfixe, celui des origines, l’âge d’or de la Révélation, elle s’est trouvéeconfrontée à cette intrusion violente dans son espace propre que futl’expédition de Bonaparte en Égypte.